Titan

par | 23 décembre 2009 | Non classé

Après les jeeps lunaires et les rovers martiens, c’est un bâteau qui explorera peut-être bientôt une planète lointaine. L’idée d’un Titan Mare Explorer (TIME) qui voguerait sur le lac Ligeia de Titan dès 2023 se précise. (ULg)
http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/8409052.stm

Encelade
L’abondance relative de la glace et de la vapeur d’eau dans les nuages jaillissant des geysers du satellite de Saturne continue à faire l’objet de discussions (cf news du 14-10-2009). Les dernières estimations sont de 50% de glace, ce qui favorise à nouveau l’hypothèse d’un lac souterrain qui bouillirait sous les failles d’Encelade. (ULg)
http://www.nature.com/news/2009/091218/full/news.2009.1154.html

Terre
En combinant les observations effectuées par des satellites et celles faites au sol et en mer, les scientifiques ont mis en évidence six mouvements périodiques dans le noyau liquide de notre planète. Ces ondes se propagent à différentes allures avec des périodicités de plusieurs décennies. (ULg)
http://www.jpl.nasa.gov/news/features.cfm?feature=2420&msource=f20091222&tr=y&auid=5750565

BD+20 2457
La découverte de deux naines brunes en orbite autour de l’étoile géante BD+20 2457 suggère que la formation des systèmes planétaire est plus rapide et efficace qu’on ne le pensait. L’intense rayonnement de l’étoile aurait évaporé ses satellites s’il ne s’étaient pas agglomérés très rapidement. (ULg)
http://live.psu.edu/story/43597

Étoiles d’un nouveau type
Cette fois ce sont des étoiles tirant leur énergie de la matière noire que les scientifiques ont imaginées. Jusqu’à mille fois plus massives que le Soleil, et incomparablement plus grandes, ces étoiles se seraient formées peu après le Big Bang et n’émettraient pas de lumière. L’existence de ces astres pourrait expliquer la rapidité de formation des trous noirs supermassifs ainsi que les abondances chimiques des vieilles étoiles du halo galactique. (ULg)
http://www.space.com/scienceastronomy/091221-mm-dark-stars.html

Nuages noctiluques
Plusieurs saisons d’observation des nuages noctiluques (NLC) par le satellite AIM (Aeronomy of Ice in the Mesosphere) ont permis de préciser leur nature et leur comportement. Ces études ont mis en évidence le rôle de la vapeur d’eau, des différentes ondes parcourant l’atmosphère ainsi que de la température. (ULg)
http://www.nasa.gov/mission_pages/aim/news/nlc-secrets.html

Comètes
La fréquence des comètes parvenant au coeur des systèmes planétaires dépend de la distance au centre de la Galaxie, les perturbations orbitales étant plus importantes là où les marées galactiques sont les plus intenses. Les collisions pourraient ainsi réduire la zone habitable autour des étoiles proches du centre galactique. (ULg)
http://arxiv.org/abs/0911.5533

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